LES COMÉDIENS       l'équipe

> CATHERINE DAVENIER
Formation au Conservatoire National d’Art Dramatique dans les classes de Marcel Bluwal et Antoine Vitez.
Joue dans Six personnages en quête d’auteur (TNP, Lyon, Paris), mise en scène de Jorge Lavelli. La maîtresse, mise en scène d’Alain Paris (Théâtre Mouffetard). Les trois sœurs, mise en scène d’Alain Butard (Belfort, TEP). Travaille avec Alain Marcel : Rayon Femmes Fortes. G. Léger : Le Prince travesti. Jacques Seiler : La statue de la Liberté. Jean Bouchaud : Le bavard imprudent. Michel Dubois : Le nouveau Menozza et Le Désamour. Jean-Pierre Dusseaux : La cantate à trois voix. Au Théâtre de la Porte Saint-Martin : Les deux orphelines, mise en scène de J.L. Martin-Barbaz. A Gennevilliers : Robespierre, mise en scène de Bernard Sobel. Au TEP : Dom Juan revient de guerre, mise en scène de Marcel Bluwal. Avec Jean-Paul Roussillon : Le Misanthrope. Avec André Cellier : Oncle Vania, Antigone. Au cinéma et à la télévision, travaille avec L. Iglésis, S. Moati, P. Lambert, C. Corsini, P. Jolivet, C. Huppert, O. Langlois.

> JEAN-PIERRE MOREL
Met en scène un opéra pour enfants Atchafalaya (Orléans, Alençon, Poitiers, tournée en mars 98 aux USA). Joue dans Martin Squelette (Espace J. Prévert Aulnay), mise en scène de Patrick Paroux. How do you know the wind is here ?, mise en scène de Stuart Seide (Centre Américain). Le Songe d’une nuit d’été, mise en scène de Stuart Seide (Théâtre National de Chaillot, La Criée Marseille). 5 nô modernes, mise en scène d’Anne Colombani (Quartiers d’Ivry). Le jeu de l’amour et du hasard, mise en scène de O. Pansieri (Théâtre Paris Villette). L’avare et Les femmes savantes, mises en scène de Jean-Louis Martin-Barbaz (Théâtre de la cité universitaire). Les deux orphelines, mise en scène de Jean-Louis Martin-Barbaz (Théâtre national de Chaillot). Œdipe roi, mise en scène de F. Bertot (Festival d’Avignon). Les chants de Maldoror, mise en scène de F. Bertot. Rôles au cinéma sous la direction de Geneviève Lefèvre, Philippe Harel.

> ANNE-CECILE CRAPIE
Etudie au Conservatoire National d’Art Dramatique (promotion 92). Travaille avec Georges Werler, Jean-Pierre Vincent et Stuart Seide.
Joue dans Le Marchand de Venise, mise en scène de Cécile Carcia-Vogel, Théâtre de la Bastille. Trézène Mélodies, fragments chantés de Phèdre de Racine, mise en scène de Cécile Garcia-Vogel, (JTN, Sartrouville, Bastille...). L’épreuve de Marivaux, mise en scène de Brigitte Foray. Tentation de Vaclav Havel, mise en scène de Claudie Gombert. Monsieur Chasse de Feydeau et Le jeu de l’amour et du hasard, mises en scène de Jean-Marc Montel. King Kong palace de Marco Antonio de la Para, mise en scène de Vincent Colin (Festival "in" Avignon 94, Nancy, Cergy...). L’amour médecin, mise en scène de Mario Gonzalez. Tartuffe, mise en scène de B. Lepecq et X. Lelève. Portrait de famille de Denise Bonal, mise en scène de C. Gombert. La paix chez soi, mise en scène de Jean Chevrin. Au cinéma : État des lieux, de J.F. Richet. Une fille de soldat ne pleure jamais, de James Ivory (98).

> PATRICK PAROUX
Joue dans Fric-Frac, mise en scène d’Aurore Prieto, au Théâtre 13. Met en scène et joue L’ours et La demande en mariage de Tchekhov, à la Gaîté Montparnasse (tournée 1998). Met en scène deux opéras pour enfants, Martin-Squelette (Eymery - Aboulker) et Le tour du monde en 80 jours (Lecoq - Dunoyer de Segonzac) avec le CREA d’Aulnay-sous-Bois. Joue Méliès, dans le Tournage ensorcelé d’A. Quésemand, à l’Epée de bois. Avec la Compagnie "Autrement dit" que dirige Jean-Marc Montel, joue dans : Monsieur Chasse, Le jeu de l’amour et du hasard, Le Barbier de Séville et Ferdydurke de Gombrowicz. Joue Le Tartuffe, mise en scène de Laurent Lafargue. La malle-poste, mise en scène de Philippe Noël. Les Évadés de J.J. Tarbès, mise en scène de Andréas Voutsinas. Nocturne à Nohant de D. Paquet, mise en scène de Hervé Van der Meulen. Avec la Compagnie Jean-Louis Martin-Barbaz, joue dans : Les deux orphelines, Jules César, La dame aux camélias, Feu la mère de madame, Le médecin malgré lui de Gounod, Les femmes savantes et L’avare. Joue Le monte-plats de Pinter, mise en scène de J.P. Darroussin et F.R. Marchasson. Morpioni’s palace, mise en scène de P. Cartié. Met en scène L’incarnation d’après Louis Calaferte - Festival "off" Avignon. Plusieurs rôles au cinéma et à la télévision : État des lieux, Delicatessen, Fucking Fernand, Cher frangin...

de quoi on parle quand on parle d’amour

L'ÉQUIPE

texte français > BLANDINE PÉLISSIER
Après des études universitaires d'anglais et d'A.E.S à Nanterre, elle passe deux années à Los Angeles où elle suit des cours de théâtre. De retour à Paris, elle parfait sa formation théâtrale avec l'équipe de Blanche Salant au Centre Américain, puis avec Steve Kalfa.
Parallèlement à sa carrière de comédienne, elle adapte des pièces et des scénarios anglophones. Elle fait partie depuis 1996 du comité de lecture anglais de la Maison de la traduction Antoine Vitez.
Pour le théâtre, outre De quoi on parle quand on parle d’amour, elle a traduit Meilleurs vœux d’Alan Ayckbourn, Comme des étoiles de Cindy Lou Johnson, Bleu/Orange de Joe Penhall, et, avec Dominique Hollier, La trappe et Voix secrètes, toujours de Joe Penhall (Editions Théâtrales).
Elle travaille actuellement, avec Dominique Hollier, à la traduction de A Going Concern, une pièce de Stephen Jeffreys.

le décor > VALÉRIE BERMAN
Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Arts Decoratifs - 1995.
Création de décors pour L’ours et La demande en mariage de Tchekhov, mise en scène de Patrick Paroux, au Théâtre de la Gaîté - 1997.
Scénographie de La sorcière du placard aux balais, opéra pour enfants de Marcel Landowski.
Travaille avec la Compagnie Théâtre à bretelles pour la création des décors du Prisonnier de Saint-Jean-d’Acre, du Tournage ensorcelé et du spectacle Cosi Fa Da Ponte.
Scénographie et costumes pour L’idiot de Dostoïevski, mise en scène de Christophe Caustier, au CNSAD.
Travaille parallèlement pour le cinéma sur les courts métrages d’Yvan Attal, Nils Tavernier, Yvan Calberac, Idit Cebula...
Assistante de décorateurs de théâtre et de cinéma (Goury, Katia Wyshkoff, ...).

la lumière > PASCAL SAUTELET
Après une formation de mosaïste aux Beaux-Arts de Paris et de création de fresques murales, il travaille pour le cinéma en tant que cameraman et en tant que chef opérateur pour de nombreux documentaires, reportages, courts métrages et longs métrages qui l’emmènent à travers le monde à la découverte de toutes les lumières.
Parallèlement, le théâtre l’amène à travailler autrement les ombres et les lumières, pour servir Marivaux, Hécube, Pierre Henry ou Rimbaud avec Bernard Sobel, Laurence Février, Jean-Marc Montel, Jean Négroni.
Dernièrement, il a travaillé à la Colline dans une mise en scène de Philippe Adrien : Kinkali d’Arnaud Bédouet. Avec le CREA dans une mise en scène de Patrick Paroux : LeTour du monde en 80 jours et au théâtre du Vieux Colombier dans une mise en scène de Philippe Adrien : Arcadia de Tom Stoppard.
Cette saison, a crée les lumières d’Un tramway nommé désir, mise en scène de Philippe Adrien, à l’Eldorado et de Trahison d’Harold Pinter, mise en scène de David Leveaux, à l’Atelier.